Dirigeants de PME/PMI, pourquoi collaborer avec un consultant en organisation et management pour accompagner votre stratégie et voc changements? [Partie 1]
Contexte actuel et situation du dirigeant
Être « le seul maître à bord » a ses avantages, et ses inconvénients. Chaque dirigeant porte au quotidien les décisions prises, et les responsabilités qu’elles engendrent. C’est stimulant, source de satisfaction quand l’entreprise se développe et prospère. Mais il leur arrive, comme tous les héros, même du quotidien, qu’ils soient fatigués. Qu’ils traversent des périodes de doutes ou bien qu’ils manquent de visibilité. Dans ces moments-là -ou pour les anticiper- avoir des partenaires de confiance, à qui se confier et en capacité de les épauler devient précieux, voire salutaire quand il s’agit d’affronter de « gros temps ». Voilà pourquoi il est utile de collaborer avec un consultant.
En VUCA tu manageras
Manager de nos jours est devenu à la fois plus subtil et plus brutal. Subtil, car il faudrait presque « deviner l’avenir » avant même que les choses n’adviennent, réussir l’équilibre délicat entre la pérennité de sa société et des enjeux éthiques de plus en plus prégnants. Brutal, car l’interconnexion planétaire, a créé un grand jeu de domino, comme l’ont montré les conflits récents et la crise sanitaire.
Le « climat » entrepreneurial devient tout aussi perturbé et perturbant que le climat de notre bonne vieille planète. Et manager consiste désormais à continuer d’avancer dans un monde que d’aucuns appellent VUCA (Volatile – Incertain – Complexe – Ambigu).
Si cette grille d’analyse et de lecture stratégique s’apparente au SWOT, elle diffère des autres outils et méthodes par son caractère prospectif. Toutefois, si la formalisation du modèle VUCA, est plutôt bien adapté en matière de management et en marketing, il n’en reste pas moins que l’environnement des entreprises a toujours été « VUCA ».
A la différence près, que comme pour l’environnement au sens large, la principale gageure à laquelle nous nous trouvons confronté est l’accélération et l’ampleur des phénomènes. L’IA en est un des exemples, parmi tant d’autres à venir.
Les questions qui se posent aux dirigeants
Alors les dirigeants se questionnent :
« Comment rendre mon outil de production plus efficient ? »
« Comment continuer à innover et mobiliser les équipes R&D ? »
« Comment former au mieux mes salariés ? »
« Comment fidéliser notre clientèle autour de nos gammes ? »
« Comment réduire nos taux de rebut »
« Comment mieux piloter la performance ? »
« Comment améliorer mes marges commerciales ? »
« Comment bien accompagner le déploiement opérationnel de la stratégie ? »
« Comment éviter les barrières commerciales ? »
« Comment être plus efficient sur nos réponses à appels d’offres ? »
« Comment garantir la réputation de notre marque ? »
Etc. Etc. Etc.
Vous avez sans doute vos propres questions -en dehors ou en plus de celles-là-. Elles tournent, amènent parfois des discussions, voire des idées de la part de vos différentes directions.
Ceci étant cela reste des approches en silo. Or à certains moments une vision « macro » s’avère indispensable pour bénéficier d’une bonne vue d’ensemble. Cette prise de recul peut s’avérer salvatrice. Qu’on soit déjà « entré dans un tunnel » ou pour l’éviter. Mais ce n’est pas évident.
Un besoin de prise de recul, en confiance
Face à ce contexte toujours plus mouvant, le dirigeant d’entreprise est bien souvent plus seul qu’il n’y paraît pour développer son entreprise et opérer les changements nécessaires. Focalisé sur l’opérationnel, la prise de recul est difficile et les échanges en interne pas toujours aisés.
S’ajoute à cela que le dirigeant n’est pas forcément le mieux placé pour observer SON entreprise avec lucidité et neutralité. Pièges de l’égo, parts blessées, rapport à l’argent, chaque dirigeant à sa capacité -et ses incapacités- à voir et appréhender, certaines réalités de son entreprise. C’est lié à la façon dont s’est construit l’individu. Et c’est le cas pour tout le monde. Malheureusement, quand une problématique « échappe » véritablement à un dirigeant, le recours à une tierce personne de confiance pour servir éventuellement « de miroir » est encore plus nécessaire.
Il suffit parfois que le dirigeant finisse par le verbaliser lui-même. En cela, le travail et les missions des consultants, notamment en management et organisation est à la croisée de trois axes :
*le coaching, en tant qu’art de l’écoute et de la prise de conscience ;
*le conseil, en tant qu’art de la recherche de solutions et de la mise en œuvre ;
*la formation, en tant qu’art de la transmission et de la pédagogie.
Si ces questionnements et attentes sont présentes à votre esprit n’hésitez pas à poursuivre la lecture avec la seconde partie de cet article consacré aux domaines d’intervention d’un conseiller de dirigeant